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 VAMPIRE DIARIES ¤ Mason E. Lawson

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Date d'inscription : 23/10/2013

VAMPIRE DIARIES ¤ Mason E. Lawson Empty
MessageSujet: VAMPIRE DIARIES ¤ Mason E. Lawson   VAMPIRE DIARIES ¤ Mason E. Lawson EmptyMer 23 Oct - 19:43

« La vie, c'est pas facile. Entre ceux qui nous mentent, ceux qui omettent volontairement de vous dire la vérité et les personnes qui savent pas ce que vous ressentez et qui font croire que si, rien n'a jamais été facile dans la vie. À Salem, l'endroit où j'ai grandit, entouré par des sorcières, vampires et loups-garous, on ne m'a jamais dit ce que j'étais. On ne m'a jamais dit que j'étais un sorcier. Et pire encore, on m'a hypnotisé de manière à ce que je ne le sache pas. Je suis parti. Je ne veux plus entendre parler de mes origines, je suis parti le plus loin possible d'ici. Ce n'est pas une vie, pas une véritable du moins. Seule une personne sait où je me trouve. Et cette personne, elle est avec moi, et elle savait ses talents, contrairement à moi. Du moins jusqu'à ce que je gâche tout. Je m'appelle Mason Lawson et j'ai 17 ans pour toujours. Et je vais vous raconter mon histoire. »

« Lawson Mason ! » s'éleva une voix que je ne connaissais que trop bien, à savoir celle du principal de notre internat. « Oui ? » demandais-je d'une petite voix. Qu'avais-je pu encore bien faire de mal ? J'avais l'habitude de constamment repousser mes limites, constamment chercher le côté amusant des choses, l'interdit, l'excitation que ce dernier motif pour lequel je faisais des conneries procurait. « Dans mon bureau. Immédiatement. » Lorsque je m'y rendais, je remarquais que Rose était avec moi, ma chère Rose, alias Rosemarie. Rose, c'était la fille dont j'étais fou amoureux depuis quelques années maintenant, et j'étais à peu près sûr qu'elle le savait parfaitement. Je la regardais, assise derrière les chaises du bureau qui nous était si familier. Du haut de nos douze ans, nous étions dans un établissement privé dans la ville de Salem. Un établissement à moitié religieux à moitié on ne savait pas trop. Pourquoi religieux ? Non pas qu'on apprenne des coutumes comme ceci ou quoi que ce soit du genre, simplement, par exemple, Rose, lorsque sa mère l'avait confiée aux gens ici, avait immédiatement eu sa propre chambre qu'elle partageait avec sa meilleure amie. Contrairement à elle, mes parents continuaient de s'occuper de moi, bien que mon père ne m'adresse pas la parole pour un motif que je ne saisissais même pas, et que je ne cherchais même pas, afin d'être honnête. En effet, depuis ma naissance, il en avait toujours été ainsi, mon père ne s'était jamais soucié le moins du monde que moi. À un point que je ne saisissais pas, il me haïssait. Probablement parce qu'il aurait désiré que le quatrième enfant de ma mère soit une fille. Soit enfin une fille. Sauf que ma mère, mon père l'avait d'ailleurs quittée pour ce motif, ne semblait capable d'avoir que des garçons. Motif stupide, je me devais de l'avouer. Je grandissais donc en sachant parfaitement que mon père m'avait renié à tel point qu'il ne me prétendait pas son fils. Et pour être honnête, je m'en moquais éperdument. Revenons-en à nos moutons. Enfin voilà. Rose, je la connaissais depuis que j'étais ici, à savoir depuis mes trois ans. Elle avait toujours vécu ici à ma connaissance, et était un peu comme ma meilleure amie, sauf que j'étais amoureux d'elle depuis plusieurs années maintenant. J'attendais depuis tellement longtemps qu'elle daigne m'accorder un regard pour autre chose que pour le bon ami que je semblais être à ses yeux. Le bon ami. J'étais en colère. Très en colère. Je ne voulais pas que Rose me considère comme un bon ami, je voulais qu'elle pense que j'étais tellement plus que cela. Malheureusement, je ne choisissais pas. Ce fut la voix de ce con de directeur qui me tira de mes pensées, m'incitant à cesser de regarder mon amie et à m'asseoir, en un ordre prononcé si sèchement que je l'exécutais aussitôt. Durant l'heur qui suivit, nous nous fîmes passer un savon pour je en savais quel motif. Au pire, je m'en moquais bien. Une fois sortis, la demoiselle me regarda. « Comment tu vas, Mase? » Je lu fis un sourire, lui prenais la main et lui lançais un regard charmeur avec le sourire qui allait avec. « ça va toujours très bien quand je suis près de toi, Rose, et toi, comment vas-tu ? » à mon plus grand déplaisir, la jeune femme fit en sorte que sa main s'échappe de la mienne, et je soupirais, rangeant mes mains dans les poches de ma veste grise. « Bah moi, ça va comme d'hab, tu sais... Cet aprèm, on va en ville avec Lissa, tu veux venir avec nous ? » me questionna-t-elle. Je ne pus m'empêcher de lui adresser un sourire ravi à la simple entente de cette question. « Bien entendu ! » lui affirmais-je.

Je me réveillais, allongé dans un lit deux place, le nez dans les cheveux de la jeune femme encore assoupire contre moi. Je sentis son odeur, ne pouvant m'empêcher de sourire en réalisant en quelle compagnie j'étais. Rose. J'avais couché avec rose cette nuit. Notre première fois. Nous n'étions pas un couple, elle ne m'aimait toujours pas-en fait, je n'en avais pas la moindre idée, mais je préférais amplement jouer les fatalistes que les mecs déçus-, cependant, moi, de mon côté, je l'aimais toujours comme un fou. À ses seize ans, nous avions couché ensemble. J'étais comblé de bonheur, bien plus que je ne l'avais jamais été. Cela avait beau faire des années que je lui courrais après sans résultat, je ne pouvais pas m'empêcher de continuer à l'aimer, en espérant que cela mène un jour à quelque chose.
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